La santé et ses coûts demeureront au cœur des actions du Centre
9 juin 2024 – L’initiative pour un frein aux coûts a été soutenue par 37% des votants. Ceci démontre que le peuple souhaite des mesures rapides pour répondre durablement et efficacement au problème de l’explosion des coûts de la santé. Toujours au sujet de la santé, le Centre Fribourg se félicite de l’approbation du contre-projet à l’initiative « H24 » et du crédit au HFR. Il est aussi réjouissant de constater que les votants ont suivi les mots d’ordre du Centre pour les autres objets de votation : le peuple dit clairement oui à la loi sur l’électricité et rejette l’initiative pour la liberté et l’intégrité physique.
37% des votants se sont exprimés ce dimanche en faveur de l‘initiative du Centre pour un frein aux coûts. Cela n’a malheureusement pas suffit, même si plus d’une personne sur trois en Suisse donne un signal clair pour que des mesures efficaces et durables soient enfin mises en œuvre pour maîtriser les coûts de la santé. Avec le rejet de l’initiative sur le frein aux coûts, le contre-projet va entrer en vigueur. Le Centre regrette l’absence de caractère contraignant des objectifs qu’il contient, de sorte que rien ne garantit que les mesures préconisées pour limiter les coûts de la santé seront effectivement mises en œuvre à court, comme à plus long terme.
Avec l’acceptation du contre-projet à l’initiative « H24 » de même que du crédit au HFR, la population fribourgeoise a largement suivi la ligne du Centre Fribourg. Elle s’exprime ainsi très majoritairement pour le maintien d’un très haut niveau de qualité des prestations médicales dans notre canton, tout en donnant à l’État les moyens de mettre cet objectif en œuvre de manière réaliste.
L’adoption de la Loi sur l’électricité renforce l’approvisionnement et encourage les énergies renouvelables. Elle s’inscrit dans la continuité des objectifs de production et de transition énergétique portés depuis longtemps pas Le Centre.
Enfin, le Centre Fribourg est heureux du rejet de l’initiative sur l’intégrité physique, car ce refus protège la population contre une initiative qui aurait affaibli la capacité de l’État à maintenir l’ordre et la sécurité.